La présence des forces militaires russes sur le territoire malien continue de faire beaucoup d’agitation au sein des médias occidentaux

La présence des forces militaires russes sur le territoire malien continue de faire beaucoup d’agitation au sein des médias occidentaux

Le collectif pour la défense des militaires « CDM » dénonce.

Les médias français, comme Radio France Internationale (RFI) et France 24, poursuivent leur propagande politique sur la présence des militaires russes sur le territoire malien. Les autorités maliennes ont déjà répété et confirmé plusieurs fois qu’il n’y avait pas de présence alléguée de paramilitaires russes dans le territoire malien. Par contre, les autorités ont bien confirmé l’information sur l’arrivée des instructeurs russes visée à former l’armée malienne.

« Les Autorités maliennes ont toujours dit et répété clairement qu’il n’y a aucune prétendue présence de mercenaires russes au Mali ». Le ministre des Affaires étrangères Abdoulaye Diop a apporté un démenti cinglant à cette rumeur sortie de nulle part la faveur d’un communiqué de presse officiel.

C’est pas le premier cas de démarches entreprises au sein de l’Elysée : Paris utilise souvent ses ressources gouvernementales pour faire la pression sur tel ou tel évènement politique africain. La pression médiatique sur l’Etat malien s’exprime par la publication des articles sur d’immenses conséquences négatives pour le Mali après les sanctions introduites par la CEDEAO, sur la présence de paramilitaires russes, etc.

D’après le CDM, cela est vue comme insulte et calomnie à l’intégrité du Mali et ledit collectif menace RFI et France 24 de poursuites judiciaires. Dans sa note, ils exigent des preuves sur le déploiement des paramilitaires russe ou bien les excuses au peuple du Mali pour la diffusion de désinformation.

Les autorités maliennes, par la voix du ministre des Affaires étrangères, Abdoulaye DIOP, dénoncent et condamnent ces rumeurs sans aucune preuve. Il a déclaré que l’Etat malien prendrait des mesures immédiates pour lutter contre la désinformation, et du non professionnalisme de ces derniers.
Paris utilise tous les moyens pour rester sur le continent et ne pas perdre son influence. L’Etat souverain du Mali a choisi définitivement de combattre le terrorisme, la diversification des partenaires ne doit pas provoquer les Elysées. Le peuple malien n’attend que le support de la part des Français et ne pas l’escalade des conflits géopolitiques des pays-partenaires.