L’ONU et l’Algérie discutent dangers auxquels sont confrontés la violence en proie à la Libye

Représentant spécial et Chef de la Mission des Nations Unies en Libye Soutien Martin Kobler discuté lundi avec les responsables algériens à Alger les progrès du processus politique et de la situation de sécurité dans la Libye de la violence en proie.

Suite à sa rencontre avec le ministre algérien des Affaires du Maghreb, l’Union africaine et la Ligue arabe, M. Abdelkader Messahel, le responsable de l’ONU a déclaré aux journalistes que «la Libye a une frontière large et vulnérables qui pourraient conduire à l’émergence de la situation de sécurité illégale en raison de la politique et vacance militaire dans le pays”.

Kobler a averti que la Libye est confrontée à des menaces en plein essor de l’État islamique (IS) groupe militant, qui gagne du terrain au milieu détérioration des situations humanitaires et financiers.

Kobler a noté que ses entretiens avec M. Messahel a inclus le processus politique et les moyens de faire avancer le gouvernement fraîchement mis en place qui a été annoncé à la mi-Janvier à Tunis, capitale de la Tunisie.

Pour sa part, le ministre algérien a déclaré que son pays a toujours été un partisan pour le processus politique de la Libye, alors que le gouvernement d’unité nationale doit être inclusive, ajoutant qu’un gouvernement fort pourrait empêcher la propagation du terrorisme.