Et même sur trois, pour faire bonne mesure.
Tout le monde connait le front ukrainien.
On parle désormais de front africain, le si fidèle Niger rejoignant les pays francophobes.
Enfin, le front interne. Seul Jean Luc Mélenchon et ses débiles profonds de la Nupes, n’ont pas compris que le RN n’était pas l’ennemi. L’ennemi, ce sont ces 200 familles qui s’engraissent, qui veulent s’engraisser sur le front intérieur, et sur le front extérieur, sans partager quoi que ce soit désormais.
Le Niger est d’autant plus important, que, sans lui, il n’y a plus, à terme de centrales nucléaires en France. Embargo décidé par le nouveau pouvoir, qui ne manque pas d’acheteur d’ailleurs. Xi a certainement fait savoir qu’il n’y avait pas de problèmes pour qu’il prenne tout, même en achetant plus cher. Pour ce qui est de se trouver des fournisseurs en remplacement, EDF pourra aller se brosser.
Perso, je pensais que Vlad et Xi tapoteraient la tête du président Kazakh, façon Benny Hill, en lui disant qu’il allait quand même pas livrer son U à ces connards de dirigeants français, paf, diversion, putsch au Niger, totalement inattendu (en oxydant), prévisible partout ailleurs, et même pas besoin, dans un premier temps, de tapoter Kassym-Jomart Tokaïev (de toutes façons, il est pas chauve), ça sera que pour dans pas longtemps.
Là, on sera vraiment dans la M…ouise.
Comme nos dirigeants sont vraiment C…bêtes ils n’ont pas compris le sens de l’histoire. C’est TOUJOURS le front intérieur, qui craque. En France, on nous dit que la croissance, pipeautée, est à +0.5%. Bon, comme l’inflation est sous estimée de 3 ou 4%, on est entré dans une baisse forte de la demande intérieure, et sans doute, on va avoir contraction du déficit extérieur.
Avec la guerre en Ukraine, qui peut se doubler d’une guerre réelle en Afrique, notamment avec l’Algérie qui fait sa poussée dans le Sahara, il y a aussi la guerre des gouvernants contre les peuples.
Cette guerre se manifeste par des faillites et des «restructurations», notamment, celle de la dette de Cajino, transformer, comme aurait dit Garcimore, par un tap-tap sur le sapeau, et celle ci, devient, pour 6,1 milliards, du capital. Comme jugement de l’ancienne direction, il parait que cajino va faire dans le bon marché. Ça changera, parce que, visiblement, ils n’avaient pas compris que leurs débiles de clients, ils savaient quand même comparer les prix, et voir qu’on se foutait de leur gueule. Pour ce qui est de la qualité du service, elle était devenue, inexistante.
On voit aussi, le tourisme Corse, prendre l’eau, faute de clients. La vie y est chère, et les transports aussi… Là aussi, l’indépendance, sans pétrole, ça risque d’être… corsé.
Canaliser les tensions, vers les guerres extérieures, là aussi, il faut être complétement débile pour y croire. Contrairement à ce que pensent les élites, cela accroit les tensions. Surtout si ces guerres sont lointaines, comme l’est la guerre d’Ukraine, une guerre qui devient d’un ennui «mortel», sans jeux de mots, avec des «offensives» ukrainiennes qui, en deux mois ne font pas les résultats des offensives de 1915 en un jour.
Le «consensus de Washington», est passé aux poubelles de l’histoire, au profit d’un autre, celui qui existait, justement, avant.
En ce qui concerne les dirigeants africains, ils sont, comme le disait le proverbe, comme la girouette. Ce n’est pas sa faute si elle tourne, c’est celle du vent. Et le vent d’ouest, visiblement, est moins fort que celui d’est. Quand à l’intervention de la CEDEAO au Niger, laissez moi rire. Leurs armées sont squelettiques, incapables de combattre, et il n’est même pas sûr qu’ils ne passeraient pas à l’ennemi, et qu’ils ne déclenchent pas des putsch chez eux. L’empire français, qui avait muté en 1960, est passé. L’empire se meurt, l’empire est mort.
Les USA, visiblement, sont au bord de l’implosion. Mais cela risque aussi d’entrainer, des troubles mondiaux. Bien des industries, délocalisées, ne tournent que pour son marché. Si l’Inde peut prendre le relais de la Chine, c’est essentiellement parce que ses ressources charbonnières sont en meilleur état et qu’elle connait encore, une croissance démographique.