Deux visions divergentes se sont exprimées lors de la cérémonie d’ouverture du XVIIe sommet de la Francophonie. Le Français Emmanuel Macron veut un espace où «personne n’a de leçon à donner». La secrétaire générale sortante, Michaëlle Jean, a pour sa part estimé «qu’une organisation qui ruse avec ses valeurs et ses principes est déjà moribonde».