Dans un cortège funèbre militaire massive menée par le président égyptien Abdel-Fattah al-Sisi, l’Egypte jeudi ses adieux à l’ancien secrétaire général de l’ONU Boutros Boutros-Ghali au Caire.

Boutros-Ghali est décédé mardi dans un hôpital de Gizeh à l’âge de 94, et il a refusé de voyager à l’étranger pour le traitement, en disant: «Je voudrais mourir ici en Egypte,” selon l’agence de nouvelles officielle MENA.

Les funérailles militaires ont également participé des hauts responsables égyptiens dont le Premier ministre Sherif Ismail, ministre de la Défense Sedqi Sobhi, grand cheikh d’Al-Azhar institution islamique Ahmed al-Tayyib et la tête de l’Eglise orthodoxe pape Tawadros II de l’Egypte.

Né en 1922, Boutros-Ghali a dirigé l’organisation mondiale du 1 janvier 1992 pour un mandat de cinq ans qui a pris fin la fin de 1996 pour être le premier diplomate en Afrique et le monde arabe à occuper un tel poste de monde.

la mort de Boutros-Ghali a été pleuré par l’actuel chef de l’ONU Ban Ki-moon, François de Vatican, la Ligue arabe, Secrétaire général Nabil al-Arabi ainsi que certains monde et les dirigeants arabes.

Le Directeur général Irina Bokova a également été l’un des participants de premier plan de l’enterrement militaire, le diplomate le plus important dans l’histoire moderne de l’Egypte.

Après les funérailles militaires, le corps de Boutros-Ghali a été transporté à la cathédrale Saint-Marc au Caire, où une messe de funérailles a eu lieu pour le diplomate de premier plan en retard.

Boutros-Ghali a été l’un des meilleurs diplomates égyptiens qui ont assisté sommet de Camp David en 1978 et a conçu le traité de paix entre l’Egypte et Israël a atteint un an plus tard.

Au moment où il a été nommé par l’Assemblée générale des Nations Unies que le chef de l’ONU à la fin de 1991, Boutros-Ghali était vice-Premier ministre égyptien des Affaires étrangères.

Après son retour en Egypte, Boutros-Ghali a dirigé le Conseil national de l’état des droits de la vertu de l’ancien de longue date le président Hosni Moubarak. Il a démissionné plus tard, en 2011, l’année Moubarak a été renversé par un soulèvement populaire.

Ses élèves, maintenant diplomates de renom, disent que Boutros-Ghali était derrière l’Egypte vers l’est dans ses politiques étrangères à la fois le pays fortement concentrée sur ses liens avec l’Occident en général et les États-Unis en particulier.

L’homme était aussi connu comme un promoteur de la paix et un défenseur des droits de l’homme.