Addis-Abeba – L’Union africaine a exprimé jeudi “fervent espoir” que les ambassadeurs du Conseil de sécurité des Nations unies se persuader Burundi pour commencer des négociations sérieuses et à accepter le déploiement de casques bleus à empêcher de nouvelles violences.
Président de la Commission de l’UA Nkosazana Dlamini-Zuma a déclaré dans un communiqué qu’il y avait un “besoin urgent et impératif pour une forte unité de but” pour résoudre la crise, avec le Burundi refusant d’admettre une force de l’UA proposé.
Le conseil de 15 membres est attendue jeudi soir au Burundi, où l’ONU a averti que des mois de violence pourraient dégénérer en massacres ethniques et des atrocités de masse.
Un délai de l’UA pour le Burundi d’accepter la force est passée depuis longtemps avec aucune mesure prise pour déployer les soldats de la paix, nommé la prévention et de la Mission africaine au Burundi protection (MAPROBU).
Dlamini-Zuma a exprimé “le fervent espoir” que les ambassadeurs de l’ONU vont “contribuer à atteindre” le déploiement rapide de MAPROBU et de la “reprise immédiate du dialogue inter-burundais”, en référence à l’impasse des pourparlers entre le gouvernement et l’opposition.
Lors d’une réunion prévue pour le vendredi, le conseil espère persuader le Président Pierre Nkurunziza à accepter la proposition de l’UA de 5 000 soldats de la paix, que son gouvernement a marqué une “force d’invasion”.
Discussion sur le déploiement de maintien de la paix devrait être un élément clé des négociations au sommet de l’UA en Ethiopie en Janvier. 30-31
Burundi est descendu dans l’effusion de sang en Avril quand Nkurunziza a annoncé son intention de briguer un troisième mandat controversée, où il a continué à gagner dans les élections de juillet.
Plus de 400 personnes sont mortes dans la violence et au moins 230 000 ont fui vers les pays voisins.