Addis-Abeba – L’Union africaine affirme une équipe envoyée pour enquêter la crise en cours au Burundi rapports de torture, des exécutions arbitraires, des assassinats et détentions ciblées qui sont de reçu “une grande inquiétude”.
Une délégation de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples a déclaré dans un communiqué publié mardi que l’attaque vendredi de trois installations militaires par un groupe non identifié qui a fait au moins 87 morts, a conduit à une escalade de la violence et de violations des droits humains.
Le Burundi a été dans la tourmente depuis que le président Pierre Nkurunziza a cherché réélection en Avril, malgré une limite de deux terme imposé par la constitution. L’annonce Avril de la candidature de M. Nkurunziza a suscité des protestations de rue qui bouillait dans une tentative de coup en mai.
Nkurunziza a été réélu en Juillet, mais la violence a augmenté depuis.