Tripoli – L’ONU a exhorté lundi les factions belligérantes de la Libye se mettre d’accord sur un gouvernement d’union après qu’ils ont été offerts à des propositions de dissiper les inquiétudes sur la répartition régionale dans un partage du pouvoir soutenu par l’ONU affaire.
L’ONU a indiqué dans un communiqué après des consultations avec les deux parties qu’un conseil présidentiel proposé serait élargi de six à neuf membres, dont un Premier ministre, cinq vice-premiers ministres et trois ministres de haut rang.
Les membres de deux parlements rivaux de la Libye devaient se réunir séparément pour discuter de la proposition de l’ONU mardi.
Le produit des mois de négociations, la proposition de l’ONU pour un gouvernement national comprend des membres des deux factions et tente de refléter l’équilibre régional traditionnel de la Libye. Les radicaux ont résisté à l’affaire.
Quatre ans après la chute de Mouammar Kadhafi, l’Etat d’Afrique du Nord est embourbé dans un conflit entre deux gouvernements rivaux et coalitions lâches de factions armées qui les soutiennent dans une lutte pour le contrôle.
Le gouvernement reconnu de la Libye et de son parlement élu ont exploité hors de la ville orientale de Tobrouk depuis l’aube faction armée libyenne a pris la capitale Tripoli l’an dernier, a mis en place un gouvernement et a rétabli l’ancien Parlement.
Le pays n’a pas d’armée nationale. Les milices rebelles ont combattu ensemble contre Kadhafi en 2011, mais ensuite tourné contre l’autre et sont souvent plus fidèles à leurs villes ou tribus ou la Libye à l’est, l’ouest ou régions du sud que de l’état.
Les gouvernements occidentaux voient l’accord des Nations Unies comme la meilleure option pour faire face à la crise de la Libye, qui a permis de combattants Etat islamique à gagner du terrain et de passeurs de profiter du chaos pour expédier des milliers de migrants vers l’Europe.
L’Union européenne dit un gouvernement d’union apporterait plus de l’aide financière et le soutien de la formation de reconstruire une armée nationale, mais les fonctionnaires sont également en train de réfléchir sanctions contre les dirigeants politiques qui bloquent un accord.