L’Algérie a retardé l’ouverture des trois postes frontaliers terrestres avec la Libye en raison de ce qui a été appelé «l’absence de gouvernement central capable de contrôler les frontières”, a indiqué un diplomate hier.
Une source du ministère algérien des Affaires étrangères, qui a parlé sous couvert d’anonymat, a déclaré que l’Algérie a accueilli des politiciens libyens et les chefs tribaux il ya jours, les informant que les frontières ne seront pas rouvrir jusqu’au parties libyennes parviennent à un consensus sur la situation de la frontière terrestre, ou d’un accord de paix qui finit la division dans le pays.
“L’Algérie a soulevé, avec des rencontres politiques et tribaux influents qui ont visité la Libye ce mois-ci pour discuter des frontières et de la crise humanitaire dans le sud de la Libye, l’idée d’un consensus entre les parties libyennes au sujet de passages, mais ils ne sont pas d’accord sur cette question”, a poursuivi la source.