Les pourparlers de paix égide de l’ONU de la Libye ont rencontré des objections des deux côtés, faire une affaire très attendu pour un gouvernement d’union dans le pays peu probable avant la date limite, le dimanche déchirée par la guerre.
Envoyé de l’ONU Bernardino Leon a essayé pendant des mois pour mettre fin à l’impasse entre les deux gouvernements rivaux qui a permis djihadistes et passeurs de prospérer dans le pays du chaos ravagé.
Le plan de paix de la diplomate espagnol appelle à un accord pour être atteint par Septembre 20, devant l’Assemblée générale de l’ONU à New York, mais les propositions successives ont rencontré de la résistance d’un côté ou de l’autre.
La Libye a été glisse plus profondément dans la tourmente depuis l’éviction du dictateur 2011 Mouammar Kadhafi, avec deux administrations rivales et des milices luttant pour le contrôle de la nation d’Afrique du Nord riche en pétrole.
Le parlement internationalement reconnu de la Libye a pris refuge à Tobrouk en Extrême-Orient du pays, tandis que un parlement rival soutenu par la Libye Fajr (aube Libye) coalition de milice a été mis en place à Tripoli.
Le groupe djihadiste État islamique a tiré parti de la crise pour étendre sa présence dans le pays, en plus de la ville natale de Kadhafi côtière de Syrte, à 450 kilomètres (280 miles) à l’est de Tripoli, en Juin.
IS a également revendiqué plusieurs attaques dans la capitale libyenne, y compris des voies de fait sur une prison située dans l’enceinte de l’aéroport de la ville qui a tué trois agents de sécurité vendredi.