La Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo (MONUSCO) a déclaré mercredi la capacité de déstabilisation de groupes armés en République démocratique du Congo (RDC) a été considérablement réduit.
«Ensemble avec le gouvernement de la RD Congo, nous avons aujourd’hui réduit de 40 pour cent de la capacité des groupes armés à avoir un impact négatif sur le processus de développement et de reconstruction du pays», a déclaré l’information publique Directeur Charles Bambara de la MONUSCO au cours d’une conférence de presse tenue à Kinshasa.
Bambara a minimisé l’ampleur des cas récents d’attaques vraisemblablement menées par les combattants des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) rebelles dans la province du Nord-Kivu, mais a insisté pour que la MONUSCO prenait les attaques au sérieux.
Il a dit mode actuel groupes rebelles d’utiliser des tactiques de guérilla clairement montré qu’ils ne disposent pas de moyens de se regrouper comme ils le faisaient dans les années précédentes.
“Davantage d’efforts ont été faits et il ya nécessité pour nos forces de continuer à travailler ensemble pour consolider les progrès réalisés», a déclaré le responsable de l’ONU.
Le patron de la MONUSCO Martin Kobler qui a rencontré les autorités provinciales du Nord-Kivu, le mercredi, a affirmé que l’image de la mission était améliorée en raison de ses efforts sur le terrain, mais il a reconnu qu’il ya certaines questions liées à la sécurité qui doivent être abordées.